Été comme hiver, la montagne offre de multiples tableaux aux formes et couleurs variant à l’infini. Fixer leur existence fugace à l’aquarelle, c’est risquer de voir le papier sécher trop vite, trop lentement, givrer, se charger de poussière ou parfois s’envoler… Mais quel plaisir de peindre sur le motif quelles que soient la saison et le temps !